L'Oreille en mouvement
Cette semaine a été bien remplie. Quelques rencontres m'ont permis constater "de visu" l'éclectisme de L'Oreille en coin.
Lundi, discussion enrichissante avec Kriss puis Emmanuel Den. Ce dernier, homme passionné et entier, ne se souvenait pas de l'incipit dadaïste que m'avait relatée Roland Moreno. Vérité au-delà de la carte à puce, erreur en deçà ? Par ailleurs, je lui raconté qu'un jour, dans un studio de France Inter où j'étais en visite clandestine, j'avais entendu un technicien qui donnait un conseil à un animateur, qui se terminait par "... comme aurait dit Emmanuel Den". Alors qu'il avait quitté la radio plus de 15 ans avant. Il y en a comme ça qui laissent des traces.
Mercredi, j'ai rencontré Jean Amadou, grande figure des dimanches matins des années 70. Longue discussion au bar du Fouquet's, siouplé. Un mot est revenu souvent dans sa bouche, à propos des producteurs Codou et Garretto : "Confiance".
Deux heures après, je voyais Daniel Mermet, dans son bureau à France Inter. Un autre visage - majeur - de cette émission mouvante. Comment voyait-il ces gens du matin, lui qui était alors plus dans la poésie et le conte ? Sans acidité. "Les chansonniers, c'était mon enfance", dit-il.
Vingt-quatre heures après, dans les mêmes murs, Denis Cheissoux, qui est aussi de l'école Oreille en coin, m'a accueilli, chaleureux. Nous avons écouté quelques bandes qu'il avait là. Il a des archives, devrait me faire quelques copies. "Nous étions la marge, les mauvaises herbes utiles", dit-il.
Enfin, à côté de ces rencontres, j'ai assisté à la réunion du Comité d'histoire de la radio, comme prévu. Assis entre Pierre Wiehn et Guy Robert, face à Michèle Bidault Van Tongeren (entre autres), j'ai été invité à parler du livre à venir et du présent blog. Accueil très amical, encouragements. Il y a du mouvement autour de L'Oreille !
Lundi, discussion enrichissante avec Kriss puis Emmanuel Den. Ce dernier, homme passionné et entier, ne se souvenait pas de l'incipit dadaïste que m'avait relatée Roland Moreno. Vérité au-delà de la carte à puce, erreur en deçà ? Par ailleurs, je lui raconté qu'un jour, dans un studio de France Inter où j'étais en visite clandestine, j'avais entendu un technicien qui donnait un conseil à un animateur, qui se terminait par "... comme aurait dit Emmanuel Den". Alors qu'il avait quitté la radio plus de 15 ans avant. Il y en a comme ça qui laissent des traces.
Mercredi, j'ai rencontré Jean Amadou, grande figure des dimanches matins des années 70. Longue discussion au bar du Fouquet's, siouplé. Un mot est revenu souvent dans sa bouche, à propos des producteurs Codou et Garretto : "Confiance".
Deux heures après, je voyais Daniel Mermet, dans son bureau à France Inter. Un autre visage - majeur - de cette émission mouvante. Comment voyait-il ces gens du matin, lui qui était alors plus dans la poésie et le conte ? Sans acidité. "Les chansonniers, c'était mon enfance", dit-il.
Vingt-quatre heures après, dans les mêmes murs, Denis Cheissoux, qui est aussi de l'école Oreille en coin, m'a accueilli, chaleureux. Nous avons écouté quelques bandes qu'il avait là. Il a des archives, devrait me faire quelques copies. "Nous étions la marge, les mauvaises herbes utiles", dit-il.
Enfin, à côté de ces rencontres, j'ai assisté à la réunion du Comité d'histoire de la radio, comme prévu. Assis entre Pierre Wiehn et Guy Robert, face à Michèle Bidault Van Tongeren (entre autres), j'ai été invité à parler du livre à venir et du présent blog. Accueil très amical, encouragements. Il y a du mouvement autour de L'Oreille !
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