samedi, janvier 27, 2007

Hêtre ou ne pas hêtre

Un mois sans un message, c'est long. Et pourtant, il y avait des choses à dire et à écrire, car c'est sans doute le mois durant lequel le projet du livre a le plus avancé depuis le début de cette "enquête"... Sans vouloir en dire trop, et parce que tout n'est pas concrétisé, et touchons du bois (d'où le titre désopilant de cette note), et Inch'Allah, le mot "édition" a été prononcé par plusieurs personnes (autorisées) intéressées par cette histoire de L'Oreille en coin. Sur cette question, la suite au prochain numéro. Sans doute avec des phrases moins alambiquées.


En ce qui concerne la matière du livre, le mois écoulé a aussi permis pas mal d'avancées. Parmi les derniers entretiens : Eve Ruggieri. Très aimable, contente de parler d'une période qui correspond à ses premiers pas à la radio. Elle racontait déjà avant même de devenir "Eve raconte".


Janine Marc-Pezet, de l'Atelier Mémoire de Radio France, m'a prêté des copies de "Moi y en a vouloir Jean Yanne", la série d'émissions diffusée sur France Inter l'été dernier et qu'elle a produite, dans une réalisation d'Elisabeth Miro. J'en avait parlé ici, pour dire que je n'en avais entendu qu'une petite partie. La chose est maintenant réparée. J'ai noté quelques passages où Jean Yanne parle de Gérard Sire, ce qui m'intéresse directement pour le livre. Mais le reste est passionnant pour qui s'intéresse à ce personnnage.

- Jean Yanne, êtes-vous un sentimental ?
- (entre les dents) Ouais, oh là !
- C'est tout ?
- Vous croyez que c'est pas suffisant ?!

Janine Marc-Pezet m'a aussi donné une copie de la liste de tous les invités de L'Oreille en coin du dimanche matin, pièce qui me manquaient encore...


Les échanges avec les internautes se poursuivent. Récemment, j'ai correspondu avec Xavier Lauwers, de Bruxelles. Il garde un souvenir précieux de Claude Dominique, a réalisé un hommage radiophonique à son égard lors de sa disparition, qui est aussi une évocation de la radio qu'il aime. Conversation par mail, envoi de CD. Merci à lui pour tout cela. Je dois l'appeler, je le ferai très bientôt...


Prochaine étape de travail, dès lundi : inventaire. Comme une prise d'élan avant la course.